A Cap Negro il n’y a rien.
Il n’y
a ni de réseau électrique, ni
eau potable, ni facteur, ni magasin d’alimentation, ni mareyeur.
A Cap Negro il n’y a rien.
Il n’y a ni café, ni boucher, ni boulanger, ni
coiffeur.
A Cap Negro il n’y a rien.
Il n’y a ni banque, ni PTT, ni percepteur.
A Cap Negro il y a quelques maisons accrochées à un
rocher dont une, appartenant à un Suisse et une autre à un Allemand. La
vue sur la baie est splendide.
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La mer couleur émeraude est magnifique. La
plage aurait pu être plus belle s’il n’y avait pas tous ces détritus
rejetées par la méditerranée.
Heureusement les habitant les ramassent et les déposent au pied de la
falaise. Faute de moyens ils ne peuvent faire mieux.
Il n’y a certes rien à Cap Negro mais il y a
quelque chose qui rode autour de vous et qui vous envahit. Il s’appelle
«Bien être ».
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